Publié le: 31 juillet 2021
Composée d’une douzaine de personnes et coordonnée par Luc Proulx, la brigade a poursuivi ses travaux de détection du Myriophylle à épis encore cette année.
Question de se rafraichir la mémoire, les travaux ont débuté par un atelier théorique le 24 août dernier. Chantal Leblanc, de la CAPSA, animait cet atelier. Par la suite, les équipes de deux ou trois personnes se sont réparti les différentes zones du lac à étudier selon leurs disponibilités. En raison de la météo, en particulier les forts vents, l’analyse s’est étalée jusqu’aux premiers jours de septembre.
Comme vous pouvez le voir sur la photo, l’analyse se fait en eau peu profonde à bord de petites embarcations à l’aide d’un aquascope (le cône orange), sorte de grosse loupe qui permet de voir clairement le fond du lac. Benoit Gauthier, qui fait partie de la brigade, a beaucoup apprécié les sorties d’observation en agréable compagnie. Cela lui a permis d’observer également la flore indigène du lac.
Les bénévoles ont analysé d’abord les zones qui n’avaient pas pu être inventoriées l’an dernier, soit les zones 2, 3, 4, 5, 8, 11, 13 et 14 sur la carte (CLIQUEZ SUR LE TITRE). Ils ont revisité aussi les zones considérées comme sensibles (descentes de bateaux) et ce, même si elles ont été inventoriées l’an dernier. Il s’agit de la rivière Gosford, la zone devant le Club nautique (zone 13), le lac des Aulnaies et la zone en amont du pont de la passe du lac au Chien.
Résultats
Bonne nouvelle, le myriophylle à épis n’a pas été détecté!
Toutefois, comme le mentionne Luc Proulx, « la brigade a bien l’intention de poursuivre ses travaux l’an prochain car la menace est toujours là! »
Soyez à l’affut : si vous observez une plante aquatique que vous soupçonnez être du myriophylle à épis, contactez-nous à club@aplsi.com.
Pour voir d’autres photos, cliquez sur l’image.